En plein \u00e9t\u00e9, sous un beau soleil de fin de journ\u00e9e, nous montons prendre des nouvelles des filles. En arrivant, l’odeur que l’on sent instantan\u00e9ment en dit long sur leur sant\u00e9… <\/em><\/strong><\/p>\n Vous le savez sans doute, cet \u00e9t\u00e9, la Corse a \u00e9t\u00e9 victime de nombreux incendies d\u00e9sastreux. Le Cap a vu br\u00fbler 2000 hectares de maquis, une v\u00e9ritable horreur ! Une catastrophe \u00e9cologique et humaine, puisque certains de nos amis producteurs ont perdu leurs ruches, leurs hangars, leurs paturages etc…<\/p>\n Parmi ces hectares de maquis compl\u00e8tement br\u00fbl\u00e9s, nous avons perdu un merveilleux coin d’immortelles sauvages, ainsi que nombreux coins de romarin et myrte que nous devions cueillir cet automne. Nous ne sommes que de \u00ab\u00a0petites\u00a0\u00bb victimes \u00e0 c\u00f4t\u00e9 de nos amis agriculteurs de Sisco et Pietracorbara. Mais au-del\u00e0 de cette perte en kilos de v\u00e9g\u00e9tal \u00e0 distiller, reste la douleur am\u00e8re de voir ce maquis d\u00e9truit. Des images dures que nous n’avons pas souhait\u00e9 relayer dans les r\u00e9seaux sociaux et m\u00eame dans cette vid\u00e9o par respect pour ceux qui ont plus perdu, et aussi pour ne pas donner de cr\u00e9dit \u00e0 ce criminel qui a lanc\u00e9 l’incendie de l’autre c\u00f4t\u00e9 du Cap.<\/p>\nCe que nous ne disons pas sur la vid\u00e9o<\/h3>\n